« Garde-moi, Adonaï ! car je cherche en Toi mon refuge.
Je dis à l’Éternel : Tu es mon Seigneur, Tu es mon souverain bien.
Les saints qui habitent le pays, les hommes pieux sont l’objet de toute mon affection.
On multiplie les idoles, on court après les dieux étrangers : je ne répands pas leurs libations de sang, je ne mets pas leurs noms sur mes lèvres.
L’Éternel est mon partage et mon calice; c’est Toi qui assure mon lot.
Un héritage délicieux m’est échu, une belle possession m’est accordée.
Je bénis l’Éternel, mon conseiller; même la nuit mon coeur m’exhorte.
J’ai constamment l’Éternel sous mes yeux; quand Il est à ma droite, je ne chancelle pas.
Aussi mon coeur est dans la joie ! mon esprit dans l’allégresse ! et mon corps repose en sécurité.
Car Tu ne livreras pas mon âme aux ténèbres, Tu ne permettras pas que Ton bien-aimé voit la corruption.
Tu me feras connaître le sentier de la vie… »