Quand son âme est trop pure pour supporter celle des autres, le mal s’en prend à lui qui s’en prend à l’autre.
Ses lumières le resserrent faisant suffoquer d’absence, la vie alors se retire amère laissant trace aux silences.
Mon odyssée de Py, furtive, imaginaire, trop vraie pour être sincère, la prière du piano noir veut le printemps suturer nos ailes.
Il se cherche dans un espace iréel, à force de tristesse gagnée, l’allégresse se sent gênée…gracile invitée de taille elle chancelle.
Son âme est trop pure pour supporter celle des autres, le mal s’en prend à lui qui s’en prend à l’autre.